Après avoir auditionné le patron de la SNCF, un sénateur a réalisé que Guillaume Pépy souhaitait lâcher les portiques de sécurité. Une idée que la société nié et présente au Figaro les nouveaux dispositifs qu’elle compte lancer.
La SNCF avait en fait promis installé ces portiques dans les toutes les gars à la suite des attaques de novembre. Mais ce projet pourrait être écarté, alors qu’il avait été annoncé depuis trois mois.
Aujourd’hui, il n’ya qu’un seul portique qui a été installé en Gare du Nord dédié aux usagers du Thalys qui se déplacent en Belgique.
De plus, on apprend qu’au sein de l’entreprise, un système a été jugé inefficace et trop cher. D’ailleurs, le président de la SNCF aurait http://pharmacie-ed.net/Levitra.html douté de ces dispositifs.
En fait, tout a commencé quand le PDG de la SNCF a admis au cours d’une audition au Sénat mercredi où il a expliqué que les trois autres pays, qui auraient accepté d’installer dans leurs gares ce genre de système n’y seraient pas d’accord. «Le gouvernement belge n’est pas prêt, le gouvernement néerlandais tergiverse défavorablement et le gouvernement allemand n’est pas d’accord», a annoncé le président de la SNCF.
Ayant participé à la rédaction et la publication d’un rapport sur la sécurité dans les transports, le sénateur, Alain Fouché (Les Républicains), qui a participé à cette audition, a fini par déduire que Guillaume Pépy envisageait laisser les portiques de sécurité.
