Très persuasive et surveillante, les caisses d’épargne aux outre-Atlantique viennent au secours de l’industrie du cannabis avec des services bancaires très onéreux alors que les autorités leurs ont adressé des avertissements.
En fait, dans le nord-ouest des États-Unis, la marijuana est utilisée à titre récréatif et médical, car cela est autorisé. Et dans cette région, les banques s’arrangent à gérer ce marché dont le chiffre d’affaire pourrait dépasser les vingt de milliards de dollars d’ici 2020.
La plupart des opérations commerciales sont cependant données en liquide, car le fait de détenir, d’acheter, vendre du cannabis est interdit par la loi fédérale, poussant la banque à ne pas se lancer sur ce marché.
Sauf que depuis http://pharmacie-ed.net/ 2014, il est permis à ceux qui cultivent le cannabis ou encore aux dirigeants de dispensaires de cannabis, d’ouvrir, un compte bancaire professionnels dans les caisses d’épargne capables.
Ceux-ci peuvent donc envoyer ou recevoir de l’argent, faire des paiements par chèque, déposer de l’argent, virer des fonds ou encore endosser des chèques…
« Le fait de sécuriser leurs affaires, les avantagera », détaille Kelli Hawkins de Numerica Credit Union, l’une des premières institutions à s’être lancée dans cette initiative que le secteur a d’ailleurs appréciée. Or plusieurs propriétaires ont vu leur compte bancaire être fermés car jugés pour la nature illicite de leur activité.
