En perte de vitesse dans les sondages Nicolas Sarkozy veut tenter le tout pour le tout afin d’essayer de remonter dans les sondages en critiquant les positions d’Alain Juppé.
Alors que le scrutin de la primaire de la droite et du centre se tiendra dans 18 jours, Nicolas Sarkozy veut miser toutes ses cartes pour essayer de battre Alain Juppé. Le sondage Elabe dévoilé mercredi 2 novembre le maire de Bordeaux est conforté dans sa position et devance l’ancien Président.
Au deuxième tour, l’ancien Premier ministre pourrait remporter la primaire haut la main. Dans un long article publié sur Facebook, Nicolas Sarkozy montre qu’il en a après Alain Juppé.
D’ailleurs dans le post, on voit le nom du maire de Bordeaux répété à maintes reprises. « J’ai la liberté de préciser que l’avance d’Alain Juppé sur moi, nous n’avons pas le même avis sur les problèmes de la France et sur les actions que nous mettront en œuvre au cours du mandat » rédige t-il. Il ajoute « dans son programme je ne vois aucun changement comparé aux projets proposés par les autres candidats. S’il faut rassembler les français, il faut valtrex adopter une ligne politique claire et marquer la rupture franche et totale avec les socialistes et toutes leurs symbole pendant cinq ans ».
Syndicat, TVA et terrorisme
L’ex président a fait une revue des points importants du programme de son adversaire qu’il a critiqué. « Alain Juppé ne veut pas changer le paritarisme et la puissance syndicale. A mon avis, ils n’ont pas réussit et bloqueront les projets de reforme. Ce dernier détaille que la réforme de l’assurance-chômage ne sera possible que si les conditions l’autorisent.
Il faut dire honnêtement aux français que le dispositif existant est intenable et d’arrêter de parler des circonstances qui seront une occasion d’éviter de s’attaquer à d’autres sujets quand il sera question de s’en occupé ».
Nicolas Sarkozy indique qu’il s’agit des mêmes circonstances qui le poussent à renoncer à réduire les impôts au lieu de prévoir une augmentation de la TVA. Je ne veux pas expliquer aux français que dans les cinq années à venir, ils auront à subir la hausse des impôts lancée sous la présidence de François Hollande « .